Le Portugal n’acceptera pas le budget communautaire proposé présenté il y a quelques jours par le président du Conseil européen, Charles Michel, hier, a assuré Antonio Costa au Parlement, rappelant qu’il s’agissait d’une similaire à celle présentée par la présidence finlandaise et qui a déjà été rejeté par la majorité des Etats membres.Le Premier ministre a déclaré hier au Parlement lors du débat préparatoire du Conseil européen à Bruxelles cette semaine que le Portugal n’acceptera pas la proposition d’un budget pluriannuel de l’Union européenne pour 2021-2027 présenté par le président Charles Michel, cependant, refusant que le pays doit assumer a priori une position de rupture face à ce qu’il a appelé "les quatre pays forretas" qui préconisent le sous-financement et de veiller à ce que le pays "continuera à maintenir une position constructive." Avec le confort d’avoir reçu, de la part de tous les parties représentées à l’Assemblée de la République, l’accord que c’est en fait une proposition "contraire à l’intérêt national", le Premier ministre Bruxelles pour la réunion du Conseil européen avec la certitude que, projet de la présidence finlandaise a déjà été rejeté par la majorité des États membres, il s’agit également d’une proposition qui aura la même destination, qui privilégie et met particulièrement l’accent sur les réductions de la politique de la cohésion et la politique agricole commune.L’autre certitude avec laquelle le Premier ministre part pour Bruxelles est que le cadre financier dit pluriannuel exige l’unanimité Conseil européen et que lorsque le projet a été approuvé lors de la réunion des chefs de État et gouvernement de l’Union européenne, la proposition doit être suivie pour approbation parliament.As européenne Antonio Costa a expliqué à l’Assemblée de la République, les quatre pays qu’elle a désignés comme «chartes» et qui, en argot européen, sont "pays fugaces", Autriche, Danemark, Pays-Bas (Pays-Bas) suède, qui ont refusé d’aller au-delà d’une enveloppe globale de 1% de la Revenu national brut (RNB) et dont la position, si elle est approuvée, « coupes dans les politiques de cohésion et la PAC », a soutenu le Premier ministre qui les pays qui prônent le sous-financement sont des pays qui ne croient pas à la européenne et donc "ne veulent pas investir dans l’Union européenne".

Attitude constructiveToujours sur la position constructive du Portugal tout au long processus, le Premier ministre a rappelé en exemple le fait que le pays avait "convenu de moderniser les politiques traditionnelles, valorisant le développement des l’opposition aux incitations à la production intensive et à la PAC dans le contexte de la lutte contre le changement climatique », mais réfute en tout cas que Le Portugal peut accepter qu’il y ait une "diminution globale du montant des et a réaffirmé qu’il n’admet pas que le Portugal peut être "traité injustement. Le chef du gouvernement a rappelé les efforts déployés par le Portugal au niveau de la "négociation et de la concertation", donnant à cet égard l’exemple de qu’il a organisée à Béja avec les Amis des États membres de la cohésion, où aucun volume global n’a été établi dans la déclaration finale, devrait être de 1 %, de 1,1 %, comme l’affirme la Commission européenne, soit 1,3 %, maintient le Parlement européen, mais seulement que l’argent de la cohésion devrait être préservée.

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