Orlando, secrétaire adjoint et ancien ministre de la Justice, mercredi, lors des votes du Sénat sur la motion de défiance au ministre Bonafede.

Son parti ne lui épargne aucune critique mais votera contre la motion. Un embarras ? Pas d’embarras, la motion doit être rejetée avec conviction parce qu’elle est instrumentale et repose sur des arguments non fondés : les allusions à des raisons obscures du choix du chef du Dap et le lien inexistant entre les mesures gouvernementales et la libération des patrons mafieux. nbsp; Au fond, cependant, #8217 l’attaque de Di Matteo #8217 sur Bonafede et la parabole d’un justicenisme à laquelle le prétend s’opposer. D’un point de vue culturel, cette histoire montre que lorsque vous montez le tigre tôt ou tard le tigre prendra votre propre. Quand j’étais ministre, le Dap a fait circuler une circulaire pour homogénéiser le traitement de 41 rappels dans toutes les institutions, pas de lasisme, selon les instructions du Cedu. Cela a suffi à faire dire au M5S que les négociations avec une mafia avaient rouvert. J’ai eu cette méthode sur ma peau, ce n’est pas la mienne et je vais toujours la combattre. nbsp; Le #8217 Covid a mis fin au débat sur la justice, le procès pénal attend d’être réformé. On peut recommencer ? Oui, mais pas à partir du point de départ où les drapeaux agitaient au lieu de s’affronter sur le fond. Nous devons reprendre le discours sur l’efficacité #8217 du processus criminel, qui est un mauvais atout et ne devrait être utilisé que pour des formes d’actes répréhensibles qui ne peuvent être contrecarrées d’aucune autre manière. ***** Lire l’interview complète #8217 sur Le Manifeste L’article d’Orlando : Obtenir la réforme du CSM vient tout de suite du Parti démocrate.

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