Le gouvernement pour les superpronosses de banques – fonds d’investissementDéclaration d’Aristios Damianos, député ACP, revient après la réunion de la commission parlementaire des finances et du budget, connue depuis 2015 avec le désaccord de l’AKEL, la majorité des parties ont adopté un projet de loi gouvernemental autorisant la vente de prêts par des établissements de crédit à des fonds d’investissement ou à des sociétés de rachat de crédit.

Une évolution qui, comme cela a été démontré pour confirmer nos préoccupations, est particulièrement aggravante pour les emprunteurs et les consommateurs.Au cours des années précédentes, le gouvernement Anastasiades-Alerte a tenté d’adopter des dispositions législatives qui assimileraient les privilèges déjà acquis par les établissements de crédit à des privilèges qu’ils voulaient accorder aux sociétés de rachat de crédit. Je rappelle que l’ensemble du processus ne tient nullement compte des intentions et des souhaits des emprunteurs. par contumace, dont les prêts, en tant qu’actifs, vont et viennent des banques vers les fonds d’investissement - vautours et sociétés similaires.En 2020, le gouvernement a déposé un projet de loi élargissant les pouvoirs des sociétés de rachat de crédit et le projet de loi pertinent a été rejeté par une majorité de partis à la Chambre plénière.Aujourd’hui, non seulement le gouvernement revient plus sévèrement, mais il s’efforce d’élargir ces dispositions pour y inclure les sociétés de gestion de prêts. Vous vous rendez compte qu’il s’agit d’une procédure qui impose une charge supplémentaire aux emprunteurs, c’est une procédure de légalité douteuse, c’est un projet de loi dans lequel aucune réglementation n’est introduite garantissant les compétences du commissaire financier, c’est un projet de loi dans lequel il n’existe pas les garanties nécessaires pour protéger les données du personnel. caractère des emprunteurs, dont les données vont et viennent entre les banques – les fonds d’investissement et les sociétés de gestion de rachat de crédit. C’est un projet de loi tout à fait problématique que nous ne pouvons évidemment pas soutenir en tant qu’AKEL. Une fois de plus, nous exprimons notre inquiétude face aux superpromotions qui existent au profit des banques, des fonds d’investissement, des entreprises, au détriment toujours des emprunteurs et de la balance qui doit exister dans un État de droit, comme le devrait être la République de Chypre.

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