Par le biais de la Loi sur les soins de santé, notre pays a stipulé que les professions de la santé (par exemple, les physiothérapeutes, les ergothérapeutes, les techniciens en pharmacie, les sages-femmes, etc.) doivent effectuer un stage de 12 mois après la formation régulière.

Ils doivent effectuer un stage afin d’obtenir un permis de travail et de pouvoir accéder au marché du travail. Mais l’État ne le permet pas dans la mesure nécessaire. Étant donné que je me suis personnellement beaucoup impliqué dans la résolution du problème des stages (depuis la fin de l’année 2020, immédiatement après que ces jeunes se soient tournés vers moi pour obtenir de l’aide), je suis en contact permanent avec le ministère de la Santé (MIZ), qui m’a dit qu’il travaillait à modifier les règlements nécessaires pour s’adapter à la situation actuelle. Ça marche depuis 3 ans ! Près de 3 000 personnes sont en attente d’un stage. Pour 2020, 170 sièges ont été obtenus pour l’ensemble de la République de Croatie. Ensuite, nous avons réussi à organiser pour 2021 2000 places (mais selon l’ancienne ordonnance 675 places pour les infirmières qui n’ont plus à effectuer de stages, donc ces quotas sont restés inutilisés), puis pour 2022 il a été réduit à 900 places, puis nous avons réussi à nous mettre d’accord sur une augmentation pour 2023 de 1500 places. C’est encore trop peu. Beaucoup sont en attente d’un stage depuis plusieurs années. Ils en ont assez et disent qu’ils vont quitter la Croatie. De plus, pendant le stage annoncé, les stagiaires doivent être présents au Service de l’emploi du CES pendant au moins une journée (et pour postuler à des appels d’offres auprès de particuliers pendant 6 mois). Dans le même temps, de nombreux candidats aux apprentis (qui, entre-temps, pour survivre, occupent différents emplois en dehors de la profession) ont quitté leur emploi précédent, mais un plus grand nombre d’entre eux n’obtiennent toujours pas de stage. De nombreux établissements de santé ne se conforment pas à l’instruction miz selon laquelle la préférence est donnée à ceux qui attendent plus longtemps pour les stages. MIZ était au courant des irrégularités, mais personne n’a été sanctionné. À ma demande, nous avons tenu une session thématique de la commission de la santé et de la politique sociale en 2022. Ils connaissent également tous les domaines, du ministère de la Santé au ministère du Travail, en passant par le système de retraite, la politique familiale et sociale, le ministère de la Science et de l’Éducation et le ministère des Finances. J’ai proposé un certain nombre de solutions, y compris des modifications aux lois et règlements existants. J’ai demandé plus d’argent dans les budgets actuels et les rééquilibrages budgétaires afin que plus de gens puissent payer pour leur ancienneté. Les dirigeants ont tout rejeté. J’en appelle à la suppression de l’exigence de la CES selon laquelle il doit être au service de l’emploi pendant la durée de l’appel d’offres pour le stage, et si cette demande est liée au financement des postes et aux conditions de retrait de l’argent des fonds de l’UE, il est nécessaire de trouver d’autres modèles de financement. Le problème fondamental est donc de ne pas obtenir suffisamment d’argent pour que tout le monde puisse effectuer le stage dans un délai raisonnable. De plus, le problème est la durée d’attente pour le stage. C’est pourquoi j’ai demandé des amendements à la loi sur les soins de santé, liés à l’article 169 existant, par lesquels le ministère de la Santé et le gouvernement de la République de Croatie s’engageraient à assurer le début des stages au plus tard un an après la fin de l’éducation, ainsi que la suppression des stages pour certaines professions (sur proposition de leur Chambre). Tout cela a été rejeté. Les fonds prévus pour 2023 ont été prévus pour un montant énorme de 19 974 281 euros, qui comprenait les besoins totaux des services publics (c’est-à-dire dans les domaines de la santé, de l’éducation, de la protection sociale et de la culture). Dans le budget de l’État pour 2024, ce montant total est réduit à 18 274 000 euros, ce qui n’est pas suffisant pour répondre aux besoins d’un stagiaire dans le domaine de la santé. C’est la raison pour laquelle, par l’amendement, j’ai demandé une augmentation de 7 500 000 euros supplémentaires du financement des stages pour les professionnels de la santé, soit un total de 25 774 000 euros. Cela représenterait environ 2 000 places pour les stagiaires dans le domaine de la santé, ce qui représenterait en moyenne 1 000 euros bruts par mois pour le salaire, soit 24 millions d’euros par an. Lors du vote d’aujourd’hui sur le budget de l’État, le parti au pouvoir a rejeté mon amendement. Combien y aura-t-il de navires stagiaires pour 2024 - en direct et en ligne. De plus, au cours des derniers mois, j’ai été confronté de manière intensive à un nouveau problème qui a frappé nos physiothérapeutes, et qui est lié à la non-délivrance d’une licence par la Chambre croate des physiothérapeutes (Chambre). À savoir, les bacheliers en kinésithérapie, après la décision de la Haute Cour administrative du 30 janvier 2023, ne peuvent pas obtenir une licence de la Chambre, tant qu’ils n’ont pas terminé leur stage, bien qu’ils l’aient déjà effectué en tant que techniciens en physiothérapie et qu’ils aient réussi l’examen, et ne peuvent donc pas accéder au marché du travail, et limitent ainsi leur gagne-pain et leur droit constitutionnel au travail ! La décision de la Haute Cour administrative de la République de Croatie indique que la Chambre croate des kinésithérapeutes de manière illégale, je cite : « ... crée une barrière illégale pour les bacheliers en physiothérapie pour accéder au marché du travail... La Chambre n’a pas le droit de demander au bachelier en physiothérapie de réussir l’examen de qualification... Pourquoi la Chambre ne s’est-elle pas souciée de facturer 300 euros pour un tel examen, sans demander de disponibilité ?

Do you see content on this website that you believe doesn’t belong here?
Check out our disclaimer.