Il y a exactement un an, le 2 mars 2020, la loi sur des solutions spécifiques liées à la prévention, à la prévention et à l’éradication du COVID-19, d’autres maladies transmissibles et aux crises qu’elles ont provoquées a été votée par les députés pis, KO, PSL et de gauche.

Le projet de loi introduit l’état d’urgence (sans état d’urgence), des règles restrictives restreignant les libertés civiles et la liberté économique, et limitant la responsabilité des autorités pour les conséquences de la lutte contre le virus. Seuls les membres de la Confédération ont voté contre cette proposition. « C’est la source des problèmes actuels! » Droit et Justice, Coalition citoyenne, gauche, PSL-Kukiz'15, ils ont tous succombé au chantage médiatique, acheté un chat dans un sac, voté une loi qu’ils ne connaissent même pas et qu’ils ne comprenaient même pas bien. La seule exception est la Confédération. 10 députés votent contre (1 absent). (...) Ce vote d’il y a un an est à l’origine d’un grand chaos juridique, des droits civiques et de la liberté économique. Aujourd’hui, ces forces, qui à l’époque ont été surprises par les lois anti-citoyens, parlent de plans de reconstruction du pays, mais pourquoi le pays a-t-il besoin d’être reconstruit ? D’où vient cette discussion? C’est de là que viennent ces idées de reconstruction. C’est donc copier les idées de la Confédération, dans laquelle excelle la Plate-forme civique, en copiant la proposition de la Confédération d’augmenter le quota libre qui vient d’être détruit, qui a commencé par cette loi. Les politiciens sous la pression des médias méritent-ils d’être opposition? Tomasz Grabarczyk (Directeur du Bureau de presse de la Confédération): « Le 2 mars 2020 est une date importante pour la politique polonaise, car elle montre comment fonctionne la politique polonaise. Le parti au pouvoir présente rapidement, sans aucun arrangement, un projet de loi qui est devenu une fonction pour opprimer les entrepreneurs, et les trois partis d’opposition appuient également ce projet de loi. Un an plus tard, des représentants du parti au pouvoir présentent un plan de reconstruction. Nous sommes heureux que quelqu’un note que l’économie polonaise doit être reconstruite, mais nous doutons des plans du PiS, parce que ce sont les gens qui ont conduit à la ruine de l’économie. Nous entendons dire que les représentants de la plate-forme présentent des idées pour sortir de la crise, il est dommage que ce soit cette crise qui ait grandement contribué. De même, la LFP, qui met aujourd’hui si fortement l’accent sur le soutien aux entrepreneurs, a également soutenu il y a un an, avec le PiS, une loi devenue une porte d’entrée vers l’oppression des entrepreneurs depuis un an. – Grabarczyk a rappelé que le projet de loi covid a également été soutenu par Hanna Gill-Piątek, Joanna Mucha et Paulina Henning-Kloska, qui sont maintenant membres de la Pologne 2050 Szymon Hołowni. « Seule la Confédération n’a pas succombé à cette panique collective et a exprimé son opposition à l’introduction d’une loi qui est devenue le moyen idéal de créer un État sans loi. »

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