En cette journée internationale du chat, DéFI rappelle l’importance de la stérilisation des chats.A Libramont, notre échevin du bien-être animal, Jonathan Martin, présentait fin 2020 son plan d’action en faveur du bien-être animal.

Celui-ci vise à améliorer le bien-être des chats et à limiter leurs reproductions sur le territoire. Ce sont 25 chats errants qui ont été stérilisés pour le dernier quadrimestre 2020. Ces derniers ont ensuite été relâchés sur le lieu de leur capture ou gardés en refuge en vue d’une adoption. Mais le plan d’action de la commune ne s’arrête pas là. Elle a également décidé d’intégrer un volet social à sa politique en matière de bien-être animal. C’est ainsi qu’un régime d’aides permettant aux plus fragilisés de faire toiletter leur chien et/ou stériliser leur chat domestique a été mis en place dès la fin de l’année 2020.A Fleurus, c’est la phase 2 du plan “chats” qui a été amorcée début 2021. La phase 1 de ce plan consistait à informer et sensibiliser les citoyens à cette thématique : réunion d’information citoyenne, articles dans médias, formation d’agents constatateurs,… Ce deuxième axe consiste à la stérilisation des chats domestiques et errants expliquait notre échevin du bien-être animal, Mikhaël Jacquemain.En Région bruxelloise, à Auderghem, à l’initiative de notre échevine Florence Couldrey, c’est une prime communale qui est octroyée aux propriétaires de chats : 50 € pour la stérilisation d’un mâle, 75 € pour la stérilisation d’une femelle. «D’après les vétérinaires, la stérilisation améliore le bien-être des félins. Ils sont moins agressifs, ce qui signifie moins de nuisances sonores la nuit, moins de bagarres et donc moins de blessures qui peuvent s’infecter. Les chattes stérilisées ont beaucoup moins de risques de développer une tumeur mammaire ou une infection utérine.Il en va de même dans la commune de Schaerbeek où notre échevine, Deborah Lorenzino, qui rappelle : «En 1991, Schaerbeek fut la première commune à voter un règlement communal relatif à la stérilisation des chats errants. Depuis lors, celui-ci est renouvelé d’année en année. Schaerbeek fut aussi la première à délivrer une carte de nourrissage pour les personnes qui ont signé une charte de la propreté et qui peuvent ainsi voir cette action de nourrissage officialisée et protégée.Pour finir, à Huy, c’est Patrick Thomas, notre conseiller communal qui proposait, à l’hiver dernier, à l’instar de la ville d’Ecaussine, de disposer dans l’entité des “chatbannes” pour les animaux “sans-abris”. «Jumelée à la stérilisation de masse des chats errants, cette mesure pourrait permettre à cette « génération entre-deux » d’être protégée des assauts hivernaux. Pourquoi ne pas imaginer un parrainage ville/citoyens de ces petits voisins à quatre pattes plutôt qu’une arrivée quasi systématique en refuge ? »

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