Ce samedi 18 septembre, Michaël Vossaert, Président de DéFI Région bruxelloise, député bruxellois et chef de groupe DéFI à la Fédération Wallonie-Bruxelles, était l’invité de l’émission de débat d’actualité politique de BX1 : Les experts.Covid-19, la vaccination fait partie de la solutionPremière actualité débattue dans l’émission, l’implémentation du Covid-Safe Ticket (CST) en Région bruxelloise à partir du 1er octobre.

Michaël Vossaert souligne le fait que le CST n’est pas l’unique façon de sortir de la crise mais que la vaccination fait partie de la solution. « Un des objectifs de ce pass sanitaire est d’inciter à la vaccination mais aussi d’éviter un « énième » reconfinement de secteurs économiques importants. Mais à côté de cela, il faut aussi travailler sur la confiance des gens dans les décisions prises. Il faut davantage d’acteurs de terrain pour aller à la rencontre, notamment des jeunes, afin de répondre à leurs questions. »Rénovation du bâti et diminution de la TVA sur l’énergieUn autre sujet qui interpelle les citoyens ces derniers jours, c’est la hausse des prix de l’énergie. Pour Michaël Vossaert, une des solutions à une diminution de la facture énergétique des Belges passe également par les incitations à la rénovation du bâti en Région bruxelloise. Mais DéFI propose également, au niveau fédéral, de prolonger deux centrales nucléaires jusqu’en 2030 car la transition énergétique vers le gaz n’est pas encore viable à l’heure actuelle. Pour contrôler la hausse des prix, DéFI soutient également la proposition de certains organismes de protection des consommateurs : « Test Achat propose une diminution de la TVA sur les factures d’énergie. C’est quelque chose qu’il faut explorer dans le court terme. Mais il faut aussi des réponses structurelles comme une indexation des salaires tenant compte de la hausse des prix de l’énergie. »Mettre davantage en valeur certains métiersL’emploi et la formation, compétences de notre ministre Bernard Clerfayt, sont des points importants de l’action de DéFI en Région bruxelloise. Pour notre député, un travail doit être fait sur les incitants : « Il faut améliorer la qualification et l’accès à celle-ci pour les demandeurs d’emploi. DéFI est contre l’obligation de diriger un demandeur d’emploi vers un métier en pénurie sous peine de sanctions. Nous souhaitons plutôt améliorer l’accompagnement individuel et personnel vers la formation adéquate.Lutter contre la pénurie de main-d’œuvre dans certains secteurs passe aussi par l’orientation déjà en secondaire. On doit parler davantage de certaines filières comme de vraies carrières et plus uniquement faire comprendre aux jeunes, comme pour moi à l’époque, qu’une carrière passe d’office par l’université pour être médecin ou avocat. Il y a plein d’autres métiers possibles : plombier, électricien, menuisier… »

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